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O Bolo da Marta revisite la meringue à Lisbonne

Elle s’appelle Marta Gonçalves, a 24 ans et vit à Lisbonne. Il y a tout juste 4 mois, en janvier dernier, cette jeune diplômée en communication a lancé sa page Facebook pour partager sa passion de la pâtisserie et ses plus belles réalisations avec ses amis. Sa spécialité ? La meringue (suspiro en portugais), qu’elle parfume parfois avec du chocolat, et qu’elle garnit ou rehausse de fruits rouges ou exotiques et de pâte à tartiner aux noisettes.

Le meilleur pastel de nata de Lisbonne

Personnellement, je ne l’ai encore jamais goûté mais je passe quand même l’information ici : le pastel de nata (célèbre petit flan portugais) de la Pastelaria Aloma serait le « Meilleur pastel de nata de Lisbonne » ! C’est le jury du festival de gastronomie Peixe em Lisboa (jusqu’au 22 avril) qui vient de lui décerner ce prix. Un jury qui est composé de la journaliste Alexandra Prado Coelho, le pâtissier Joaquim Sousa, le gastronome Virgílio Gomes, l’oenologue Domingos Soares Franco, et le chef-présentateur TV  Rodrigo Meneses.

A Lisbonne, des auberges de jeunesse qui ont le vent en poupe

Fini le temps où l’on dépensait près d’une centaine d’euros pour une nuit d’hôtel dans le centre-ville de Lisbonne. Après 48h chrono à Lisbonne, je vous propose aujourd’hui un petit zoom en images sur un concept d’hôtellerie assez récent et qui a le vent en poupe à Lisbonne : les boutique-hostels. Ces auberges de jeunesse à la déco design très soignée ont déjà convaincu une foule de backpackers et autres jeunes voyageurs mais toujours exigeants. Alors, pourquoi pas vous ?

Alors on met ses ronds de côté pour le shopping, les resto et la vie nocturne car aujourd’hui, l’alternative cheap & chic existe avec des chambres à partir de 15€ la nuit (dortoir) et 30€ (chambre simple/double) avec salle de bains partagée ou privée. Dans les 5 boutique-hostels de Lisbonne dont je vais vous parler, on peut aussi compter sur le free Wi-fi et le petit-déj’ à prendre dans une cuisine tout équipée. C’est parti pour le top 5 !

1 – Rossio Patio Hostel

Ouvert depuis moins d’un an, au cœur de l’une des plus beaux édifices XIXe du pays, la gare ferroviaire (Estação) de Rossio d’où l’on pourra, pourquoi pas, filer vers Sintra.

Essayez d’imaginer le 2ème étage de cette très belle gare, aménagé en auberge de jeunesse cosy… Ici, l’opération s’est faite en partenariat avec Refer (l’équivalent de notre SNCF). La maison est également propriétaire de l’Alfama Patio, dans le quartier du même nom.

Tentant comme living room, non ?

Dortoirs pouvant accueillir 2 à 6 personnes :

18-35€/nuit

Le propriétaire des lieux, la société Observar o Futuro, annonce une prochaine ouverture en 2012, à Lisbonne, du côté de la gare de Cais do Sodré.

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2 – Best Estória Hostel

Dans le quartier incontournable d’Alfama, à quelques mètres du Château de São Jorge, Rua de S. Tomé, nº 23.

Le charme à partir de 15-20€ / nuit ! Je le teste cet été, en juillet. Je vous en reparlerai à coup sûr.

Chambre "Be Lisboeta"

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48 heures chrono à Lisbonne

Selon les lecteurs des guides de voyage Lonely Planet, Lisbonne est l’une des destinations incontournables de 2012. On parie qu’il est possible de capturer le meilleur de la « ville aux sept collines » en 48h seulement ?

Jour 1

8h // Pour explorer Lisbonne de la meilleure façon qu’il soit, on prend le tram n° 28 à Campo de Ourique (départ). Et c’est parti pour 45 min de secousses ponctuées de vues époustouflantes sur la ville. L’excitation est à son comble lorsque l’engin jaune vif grimpe la colline du quartier de l’Alfama, puis qu’il pile pour laisser passer un couple d’amoureux en goguette. On adore regarder les voyageurs intrépides qui, défiant le tram en marche, s’accrochent aux portes. Une balade idéale pour photographier la Basilique da Estrela, la cathédrale (Sé), le Château de São Jorge et le quartier d’Alfama. NB : se méfier des pickpockets, des habitués du tram 28 !

10h // Le terminus du tram – Martim Moniz – nous pousse littéralement dans les bras de l’Alfama ! L’ancien quartier maure de la capitale regorge de ruelles tortueuses, de becos ou allées escarpées et de charmants belvédères du haut desquels le panorama sur Lisbonne est à chaque fois saisissant. On domine Lisbonne en se promenant le long des remparts et dans les cours bordées de pins du Château de São Jorge. Vue imprenable sur les toitures rougeoyantes de la ville et, au loin, le bleu brillant du Tage. Et pour une vue plongeante sur le centre-ville, on monte au Miradouro da Graça. Le+ : s’il fait grand beau, on prend un verre en terrasse, à l’ombre des pins…

12h30 // Retour à la Lisbonne du XXIème siècle. On déjeune au restaurant Bica do Sapato (Avenida Infante Dom Henrique, M° Santa Apolónia). Au bord du fleuve, on goûtera ici à une très bonne cuisine portugaise et internationale. Un entrepôt portuaire aménagé en style rétro avec salle à manger, bar, sushi-bar (soir) et petite terrasse en plein air. C’est LE resto ultra branché des quais, en effet son co-propriétaire n’est autre que l’acteur John Malkovich. Le + : on a une vue imprenable sur le Tage à travers les baies vitrées. Compter 50€ par personne en moyenne.

14h // Le fado a récemment été inscrit au Patrimoine culturel immatériel de l’Unesco ! On court donc réviser ses classiques au Musée du Fado (Largo do Chafariz de Dentro, 1 – M° Santa Apolónia). Le lieu comprend une riche iconographie composée de partitions, affiches, journaux, photographies, illustrant les principaux modes de consécration et de médiatisation de la chanson urbaine lisboète. Expos permanentes et temporaires. Ouvert du mardi au dimanche, de 10h à 18h. Entrée : 4€. www.museudofado.pt

16h // L’heure du goûter ! On file chez Pastéis de Belém pour déguster la plus célèbre des pâtisseries portugaises : le pastel de Belém. Ces délicieuses tartelettes rondes au goût unique sont confectionnées sur place, selon une recette originale née à Lisbonne et tenue secrète depuis des décennies.

17h // On reste à Belém pour flâner au bord du Tage et plonger dans l’histoire du Portugal, ce peuple qui jadis s’est tourné vers la mer. Un jour, tandis que l’Europe se déchirait entre guerre de Cent ans et guerres de religion, les marins portugais audacieux et téméraires, partent à la découverte des Canaries, de Madère, des Açores, du fleuve Congo, du cap de Bonne-Espérance… Ils iront jusqu’à Calicut en Inde, sur le grand marché mondial du poivre, du gingembre, du girofle et de la cannelle. De cet âge d’or portugais, Lisbonne conserve aujourd’hui deux monume