En Serbie, à 240 km au sud-ouest de Belgrade, le réalisateur Emir Kusturica a imaginé l’ethno-village de Küstendorf – en français “le village en bois” – pour son film La vie est un miracle, en 2004.
A l’est
5 bonnes raisons d’aimer Belgrade
Besoin d’un vrai week-end dépaysant et festif à moins de 3h de Paris ?
Située au confluent de la Sava et du Danube, maintes fois détruite et reconstruite, la capitale serbe, Belgrade, est réputée pour être, après New York, la ville où l’on ne dort jamais. Autre de ses atouts ? C’est une destination à porter de (presque) toutes les bourses. Qui plus est, et croyez-moi : à Belgrade, la joie de vivre transpire malgré les murs criblés de balles !
Dans le vacarme des trompettes de Guca
Un festival musical bon enfant, en Serbie, ça vous dit ? A 3h de Belgrade, voici Guča, petit village de montagne de 3000 âmes, qui accueille chaque année au mois d’août son désormais célèbre festival des fanfares.
5 bonnes raisons d’aller à Budapest

1. Son architecture
Budapest a conservé de nombreux édifices et un charme “fin de siècle” – la belle époque synonyme de prospérité pour la capitale. Les deux rives du Danube ont donné naissance à une grande capitale sans pour autant abdiquer leur identité. Côté Buda, le quartier du Château compte parmi les plus prestigieux monuments et musées de la ville, notamment la Galerie nationale, qui abrite une vaste collection exclusivement consacrée à l’art hongrois. Ici, rues pavées et édifices baroques se succèdent. Côté Pest, place aux immeubles cossus, aux larges avenues et aux tramways bringuebalants ! Rue Dohany, nos yeux seront attirés par la plus grande synagogue d’Europe. On passera forcément par l’avenue Andrassy – classée au Patrimoine mondial de l’Humanité – pour contempler l’Opéra et finir en apothéose par la place des Héros, où se dresse un obélisque de 36 m de hauteur. Sur les Champs-Elysées pestois, tout n’est que calme, luxe et volupté… Impressionnant aussi, le Parlement hongrois (M° Kossuth Lajos tér, ligne 2 ou tram 2), sans doute le plus bel exemple de l’éclectisme budapestois (baroque, néo-Renaissance et néogothique).