Blog de voyages
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C’est un petit jardin caché que très peu de touristes visitent lorsqu’ils viennent à Lisbonne. Très peu le connaissent. Et pourtant, il vaut le détour. Cet été, comme je logeais tout près, sur l’avenida da Liberdade (dans cet hôtel), j’y ai fait quelques photos. Si vous avez un peu de temps devant vous et que vous empruntez le funiculaire de Lavra, le plus ancien de Lisbonne, pensez à vous arrêter quelques minutes dans le jardin romantique de Torel. On y va pour faire une pause rafraîchissante, et surtout pour profiter du très beau panorama sur les icônes du quartier de la Baixa et le fleuve. Let’s go ? シ.

Et si nous repartions au Portugal ? Parce qu’il fait encore beau et chaud dans le sud du pays (en Algarve), après la rencontre avec les hippocampes, je vous emmène à la découverte d’un autre lieu très photogénique. Le joli village perché d’Odeceixe. J’y ai passé quelques heures pendant mes vacances sur la côte ouest de l’Algarve et l’atmosphère qui se dégage de ce village blanc m’a beaucoup plu. On se sent bien à Odeceixe ! Autres atouts : la confluence de la rivière Seixe et de l’océan à quelques centaines de mètres seulement du village. J’ai beaucoup aimé cet endroit et j’espère que ces quelques lignes vous donneront envie de le découvrir à votre tour.

Bon ben voilà, je vous le dis comme ça, sans préambule : avec mon mari, nous quittons Paris ce week-end pour de nouvelles aventures dans le Sud-Ouest de la France. Qui l’eût cru ? Bonjour Bordeaux ! シ

J’ai profité de mes dernières vacances dans le sud du Portugal, en Algarve, pour me pencher sur la vie sauvage, l’un de mes principaux centres d’intérêt lorsque je voyage hors des villes. Une amie m’avait parlé de leur existence en Algarve il y a plusieurs mois et j’avais alors écarquillé les yeux. Poussée par ma curiosité, j’ai eu envie d’aller les observer de mes propres yeux, observer la fragilité de ces êtres vivants menacés de disparition. L’objet de mon intérêt, ce sont les hippocampes, ces curieux poissons en danger qui habitent dans la réserve naturelle de la Ria Formosa, à une trentaine de kilomètres de ma maison de famille.

Après un premier itinéraire assez court (moins de 12 km), de Villandry à Azay-le-Rideau, je vous propose de suivre la suite de mes aventures à vélo, en Touraine, avec Julie du blog La Boucle Voyageuse. Cette seconde portion de véloroute, plus longue que la précédente, nous conduit à Loches et dans le village fleuri de Chédigny. Nous sommes toujours début juillet et il fait presque trop chaud pour pédaler. Heureusement, l’Indre à vélo, c’est plutôt fastoche (plat donc !) et nos montures à assistance électriques nous donnent l’impulsion nécessaire pour avaler de la véloroute. Vous venez ?